Le Rouge et le noir = opr.fr.pl, Literatura XIX wiek

 

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Présentation de l'œuvre

Résumé

Gervaise Macquart, le personnage principal, une Provençale originaire de , boiteuse mais plutôt jolie, a suivi son amant, Auguste Lantier, à avec leurs deux enfants, Claude et . Très vite, Lantier, paresseux, infidèle et ne supportant pas de vivre dans la misère, quitte Gervaise et ses enfants pour s'enfuir avec Adèle. Gervaise, travailleuse, reprend alors le métier de blanchisseuse qu'elle a appris à Plassans. Elle accepte d'épouser Coupeau, un ouvrier-zingueur auquel elle finit par céder - le bon cœur et la faiblesse sont des traits forts du caractère de Gervaise. Ils auront une fille, Anna Coupeau, dite , héroïne d'un autre roman des Rougon-Macquart.

Gervaise et Coupeau travaillent dur, gagnant de quoi vivre avec un peu plus d'aisance tout en faisant des économies. La blanchisseuse rêve d'ouvrir sa propre boutique mais un accident la contraint à différer son projet : Coupeau tombe d'un toit sur lequel il travaillait. Quitte à y consacrer toutes les économies du ménage, Gervaise décide de soigner son mari à la maison plutôt que de le laisser partir à l'hôpital, de triste réputation.

La convalescence de Coupeau est longue. Il garde une rancœur envers le travail, prend l'habitude de ne rien faire et commence à boire. Gervaise s'en accommode.

C'est auprès de leur voisin Goujet, un forgeron amoureux d'elle mais qui n'ose le lui avouer, que Gervaise trouve l'argent lui permettant d'ouvrir sa blanchisserie. Elle y acquiert très vite de l'aisance. Elle a plusieurs ouvrières : Mme Putois, Clémence et une apprentie, Augustine. Par un travail acharné, Gervaise parvient à nourrir tout son monde. Elle aime faire plaisir, elle invite à manger plutôt que de rembourser ses dettes ; gourmande, elle grossit. Coupeau, quant-à lui, boit de plus en plus, des alcools et pas seulement du vin.

La situation se détériore encore avec le retour de Lantier. Il réapparaît le soir d'un fameux dîner au cours duquel Gervaise, pour sa fête, sert une oie à ses invités ; c'est le signe d'une certaine réussite, mais aussi la première étape de sa chute implacable. Coupeau accepte d'héberger Lantier, moyennant une pension que celui-ci ne paiera jamais. Les deux hommes mènent belle vie, mangeant et buvant tout ce que gagne Gervaise pendant que celle-ci s'épuise à la boutique. Ses dettes augmentent. Elle refuse de partir avec Goujet et, par lâcheté, laisse Lantier redevenir son amant. Coupeau boit de plus en plus. Gervaise voit son commerce péricliter. De déchéance en déchéance, elle doit le vendre et sombre progressivement dans la misère. Elle perd l'estime de Goujet, se bat régulièrement avec Coupeau et, à son tour, commence à boire. Coupeau, pris de crises de délire, fait périodiquement des séjours à . Pour survivre, Gervaise en vient à tenter de se prostituer. Lantier, en bon parasite, s'est installé chez les Poisson, l'épicerie qui a remplacé la boutique de Gervaise.

Gervaise voit mourir Coupeau à Sainte-Anne - les crises de de Coupeau sont un des moments forts du roman. Elle se retrouve pratiquement à la rue, réduite à la mendicité. Elle meurt victime de la faim et de la misère, dans un réduit situé sous l'escalier de l'immeuble. Personne ne la voit mourir et c'est l'odeur qui alerte les voisins.

·         Auguste Lantier : ouvrier tanneur puis chapelier, beau parleur, dépensier et infidèle ; père de Claude et Étienne ;

·         Claude Lantier : fils aîné de Lantier et Gervaise ; au cours du roman, il est envoyé à Plassans chez un vieux monsieur, amateur de tableaux, qui, trouvant que Claude dessine bien, veut se charger de son éducation.
: second fils de Lantier et Gervaise ; il travaille à la forge avec Goujet, puis part à Lille chez un mécanicien
Anna Coupeau, dite  
Les Lorilleux : sœur et beau-frère de Coupeau ; ouvriers bijoutiers en chambre, ils fabriquent des chaînettes d'or ;.

·         Maman Coupeau : mère de Coupeau 
Virginie Poisson : sœur d'Adèle pour qui Lantier abandonne Gervaise et ses enfants ; Virginie et Gervaise se battent au lavoir, dans une scène furieuse, au début du roman ; plus tard, c'est Virginie qui rachète la boutique de Gervaise pour s'y installer dans l'épicerie fine 
Mme Lerat : sœur de Coupeau et de Mme Lorilleux ; elle travaille chez une fleuriste qui accepte de prendre Nana comme employée.

·         Augustine : apprentie blanchisseuse à la boutique de Gervaise ; dans tout le roman, elle est désignée par "ce louchon d'Augustine", sans doute à cause d'un fort .

·         Bibi-la-Grillade : ouvrier tanneur, alcoolique : il est le témoin de Coupeau pour son mariage.

·         Bec-Salé dit Boit-Sans-Soif : forgeron travaillant dans la même forge que Goujet ; alcoolique.

·         Mes-Bottes : gros mangeur, compagnon de boisson de Coupeau.

·         Les Boche : concierges de la maison ouvrière de la rue de la Goutte d'Or.

·         Le père Bazouge : le croque-mort qui enterrera Gervaise.
Adèle : soeur de Virginie, Lantier quitte Gervaise pour être avec Adèle.

·         Le père Bru: vieil homme très pauvre, habitant dans l'immeuble des Lorilleux

 

·         Résumé

·         Le roman compte deux parties : la première retrace le parcours de dans la petite ville de et plus particulièrement son entrée chez les Rênal, ainsi que son séjour dans un séminaire. La seconde, la vie du héros à Paris comme secrétaire du marquis de La Mole et son déchirement entre ambitions et sentiments.

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·         Première partie

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·         Stendhal, Le Rouge et le Noir, édition 1854

·         En épigraphe, Le Rouge et le Noir, Chronique du XIX siècle porte « La vérité, l'âpre vérité. DANTON » . Aussitôt, Stendhal plante avec précision le décor de la petite ville de Verrières (ville fictive), sur le , et la situation sociale et politique, définissant l'atmosphère dans laquelle se forme l'état d'esprit du héros.

·         Julien Sorel est le troisième fils du vieux Sorel, scieur, qui n'a que mépris pour les choses intellectuelles et donc pour Julien qui se révèle très tôt doué pour les études. Au contraire de ses frères, le garçon n'est pas taillé pour les travaux de force, et sa curiosité le pousse à s'instruire par tous les moyens possibles (ce que le père Sorel appelle flâner). Si le jeune garçon peut réciter par cœur le , s'il bénéficie de la protection du curé de son village, le curé Chélan, il connaît aussi tous les détails du , car paradoxalement il voue une admiration sans bornes à qu’il considère tout à la fois comme un Dieu et comme un modèle de réussite. Malmené dans sa famille qui le tourne sans cesse en dérision ou lui fait subir des violences, il est protégé par l'abbé Chélan qui le recommande au Maire de Verrières, Monsieur de Rênal, comme précepteur de ses enfants, puis le fait entrer au séminaire.

·         Ce sont là les débuts de Julien dans le monde de la bourgeoisie provinciale. Malgré sa timidité naturelle, il parvient peu à peu à séduire madame de Rênal, jeune femme assez belle, mais également d'une naïve timidité. La vie de Sorel chez les Rênal est donc marquée par sa vive passion pour madame de Rênal et par son ambition démesurée. Il rêve de devenir une sorte de nouveau . Sa vie est donc dominée par l’hypocrisie. Au château de monsieur de Rênal, il doit cacher ses sentiments pour la maîtresse de maison, et à l'abbé Chélan son admiration pour Napoléon.

·         Au château, le jeune homme gagne rapidement le cœur des enfants et il prend l'habitude de passer ses soirées d'été en compagnie de Mme de Rênal qu'il surprend agréablement lorsqu'elle tente de lui faire un cadeau. La fierté du jeune homme plaît à cette provinciale rêveuse, qui tombe amoureuse de lui sans s'en rendre compte. Mais le tempérament fier et ombrageux de Julien va bientôt tout gâcher : il refuse une augmentation de salaire proposée par Monsieur de Rênal et repousse les avances d'Élisa, femme de chambre de madame de Rênal.

·         Élisa s'étant empressée de faire courir une rumeur (fondée) sur les sentiments qui animent sa maîtresse et Julien, les jaloux commencent à jaser à Verrières (Julien était devenu un homme à la mode) et du coup, Monsieur de Rênal reçoit une lettre anonyme dénonçant l'adultère de sa femme. Bien que ces racontars lui apparaissent fantaisistes, le maire de Verrières décide de se séparer de son précepteur. Julien, sur les conseils de l'abbé Chélan, quitte le domaine des Rênal et entre au grand séminaire de . Avant de partir, il a une dernière entrevue avec Madame de Rênal qui lui paraît très froide alors qu'elle lui porte toujours un amour profond. De là le malentendu qui aboutira à la tragédie. Julien l'impatient confond réserve et indifférence.

·         Au séminaire de Besançon, Julien est haï par ses camarades, sortes de paysans affamés dont l'aspiration suprême est "la choucroute du dîner" ; il y fait la rencontre de l’Abbé Pirard qui percevra bien son ambition, mais qui le protégera aussi. Il passera bien des moments pénibles jusqu'au jour où l'abbé Pirard lui propose de devenir le secrétaire du Marquis de La Mole. Il part alors pour Paris afin de prendre ses fonctions auprès de l'illustre aristocrate, non sans avoir rendu une visite clandestine à Mme de Rênal préalablement.

·         Seconde partie

·         Le marquis de La Mole, personnalité influente du faubourg Saint-Germain, remarque très vite l'intelligence de Julien, qui fait aussi la connaissance de Mathilde, la fille altière et passionnée du marquis, une personnalité remarquable et remarquée de la jeunesse aristocratique parisienne. En dépit de ses nombreux prétendants de haut rang et des origines modestes de Julien, elle ne tarde pas à s'éprendre de lui en qui elle voit une âme noble et fière ainsi qu'une vivacité d'esprit qui tranche face à l'apathie des aristocrates de son salon. Une passion (ambition voire fuite de l'ennui pour Mathilde) tumultueuse commence alors entre les deux jeunes gens. Elle lui avouera ensuite qu'elle est enceinte et prévient son père de son souhait d'épouser le jeune secrétaire. Mathilde ne réussira pas à convaincre tout à fait son père de la laisser épouser Julien, mais, dans l'attente d'une décision, le marquis fait anoblir Julien et lui procure un poste de lieutenant de hussards à Strasbourg. Le fils de charpentier devient ainsi M. le chevalier Julien Sorel de La Vernaye.

·         C'est alors que Mathilde de La Mole appelle son amant à la rejoindre expressément à Paris : le marquis de La Mole refuse catégoriquement toute idée de mariage depuis qu'il a reçu une lettre de Mme de Rênal dénonçant (sur conseil impérieux de son confesseur) l'immoralité de son ancien amant rongé par l'ambition. Julien, impavide, se rend alors de Paris à Verrières, entre dans l'église et tire à deux reprises, en pleine messe, sur son ancienne maîtresse. Il ne se rend alors pas compte qu'il n'est pas parvenu à la tuer.

·         Julien attend ensuite en prison la date de son jugement, prison où Mathilde passe le voir une fois par jour mais ses poussées d'héroïsme finissent par lasser son amant. Mathilde de La Mole, sous un pseudonyme d'abord, puis sous son vrai nom ensuite, multiplie les tentatives pour le faire acquitter, notamment en faisant miroiter à l'ecclésiastique le plus influent de Besançon un poste d'évêque. Simultanément, Mme de Rênal tente de faire pencher le procès en faveur de Julien en écrivant aux jurés que ce serait une faute de le condamner et qu'elle lui pardonne volontiers son geste « maladroit ».

·         Malgré une opinion publique acquise à la cause du jeune Sorel, M. Valenod (qui fait partie du jury) parvient à faire condamner Julien à la guillotine, notamment à cause d'un discours provocant dénonçant les castes et l'ordre établi. À l'issue de la sentence, Mathilde et Mme de Rênal espèrent encore un recours en appel, mais Julien ne voit pas d'autre issue que le couperet. Mme de Rênal, qui s'est installée à Besançon malgré les réticences de son mari, est parvenue à obtenir l'autorisation d'aller voir Julien, qui retrouve pour elle une passion sans bornes. Malgré tous les sacrifices qu'elle est prête à consentir, Julien se résigne à la mort.

·         Juste après l'exécution de Julien, Fouqué (son ami de toujours) rachète son corps au bourreau. Mathilde demande à voir la tête du père de son enfant, puis empoigne la tête de Julien et l'embrasse au front. Elle enterrera elle-même la tête à côté de sa tombe, dans une grotte située non loin de Verrières où Julien avait l'habitude de s'installer. Leur enfant aurait dû être pris en charge par Mme de Rênal, mais celle-ci meurt trois jours après Julien.

·         Les Personnages

·         Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. est la bienvenue !

·         : héros du roman, fils d'un charpentier de Verrières, un temps précepteur chez Monsieur de Rênal où il est l'amant de Madame de Rênal.

·         Monsieur de Rênal: premier maire de Verrières, mari de Madame de Rênal. Il est aussi le premier employeur de Julien.

·         Madame Louise de Rênal: épouse de Monsieur de Rênal et amante de Julien

·         Marquis de la Mole: ministre du roi, employeur de Julien après sa sortie du séminaire, et père de sa deuxième amante, Mathilde de la Mole.

·         Mathilde de la Mole: seconde amante de Julien.

·         Fouqué: seul ami de Julien, propriétaire d'une petite entreprise, qui tente d'employer Julien, et s'occupe de son enterrement à sa mort.

·         Elisa: domestique de Monsieur de Rênal, un temps amoureuse de Julien mais ce dernier ne veut pas l'épouser.

·         Valenod: directeur du dépôt de mendicité de la ville de Verrières d'abord, puis maire de cette ville.

·         Abbé Pirard: abbé présent lors du séjour de Julien au séminaire. Il éprouve une certaine affection pour Julien, qu'il trouve brillant. Il le recommande auprès du Marquis de la Mole avant que ce dernier ne l'engage.

·         Abbé Chélan : abbé de Verrières , premier protecteur de Julien qui le mène chez les Rênal .

Résumé

Le jeune aristocrate , après avoir perdu son dernier sou au jeu, a l'intention de se suicider. Il rentre par hasard chez un antiquaire, où un vieil homme lui montre alors « une peau de chagrin » ayant le pouvoir d’exaucer tous les vœux de son propriétaire : «  Si tu me possèdes, tu posséderas tout, mais ta vie m'appartiendra ». Le vieillard met en garde le jeune homme : chaque désir exaucé fera diminuer la taille de cette peau, symbole de sa vie  : « Le cercle de vos jours, figuré par cette Peau, se resserrera suivant la force et le nombre de vos souhaits, depuis le plus léger jusqu'au plus exorbitant ». Le jeune homme accepte ce pacte diabolique, sans bien mesurer les mises en garde de l'antiquaire. Dans un premier temps, Raphaël ne se préoccupe pas de cet avertissement et se lance dans des folies. Il devient immensément riche, mène grand train, connaît la gloire et les succès mondains. La Peau lui procure l’énorme héritage d’un oncle et l’amour de Pauline, sa jeune voisine. Mais très vite le jeune homme passionné qui envisageait de produire une grande œuvre (La Théorie de la volonté), devient un être prématurément vieilli, dévoré par une maladie, que ni les plus savants médecins ni les cures dans des villes d’eau ne peuvent sauver. Prenant conscience de l’inexorable rétrécissement de la peau, et du temps qui lui est compté, il en vient à vivre en reclus, espérant éviter toute occasion de formuler quelque vœu que ce soit. Sa survie devenant sa seule préoccupation, il constate que, bien que doté d’un pouvoir extraordinaire, il n’en a rien fait, et il meurt rongé d’amertume, foudroyé par un dernier désir, celui de vivre encore.

Opis fabuły

Karol Bovary, z zawodu lekarz, zostaje wyswatany przez nieustannie ingerującą w jego życie matkę z podstarzałą, bardzo brzydką, ale za to podobno bogatą wdową po komorniku z Dieppe – Heloizą Dubuc. Po ślubie okazuje się, że kobieta jest apodyktyczna i nad wyraz podejrzliwa (zwłaszcza gdy mąż często odwiedza swego pacjenta i jego piękną córkę Emmę). Na jaw wychodzi również fakt o jej zatajonym kredycie hipotecznym. Heloiza po kłótni z rodzicami Karola, czując się osaczoną i wyszydzaną przez społeczeństwo, nie wytrzymuje napięcia i w wyniku krwotoku płucnego umiera.

Karol po śmierci Heloizy czuje się osamotniony. Coraz częściej zaczyna bywać w domu pana Rouault. Zauroczony jest Emmą, która nie odrzuca jego zalotów. Karol oświadcza się Emmie przez jej ojca i zostaje przyjęty. Po odczekaniu okresu żałoby odbywa się długie i piękne wesele. Jednak już po kilku dniach Emma, tytułowa pani Bovary, zdaje sobie sprawę z faktu, że nie darzy uczuciem swojego małżonka, który wydaje jej się prosty, pusty, mało atrakcyjny. Marzy o miłości idealnej, niezwykłej, opisywanej w romansach i powieściach Waltera Scotta. Jej odczucia stopniowo nasilają się od momentu, gdy spędza wieczór na balu u d'Andervilliers. Poznaje świat francuskiej arystokracji, pod którego wpływem zaczyna się zmieniać. Z czasem staje się to przyczyną zaburzeń psychicznych.

Kobieta staje się rozrzutna. Rujnuje majątek męża. Po roku małżeństwa rodzi córkę, nie jest jednak dobrą matką. Raz rozpieszcza Bertę, to znów ją zaniedbuje. Niemal nawiązuje romans z Leonem, po jego wyjeździe do Paryża poznaje arystokratę Rudolfa Boulanger, z którym przeżywa burzliwy, namiętny i tragiczny w skutkach romans. W swoim kochanku cały czas poszukuje amanta z książek i idealnego mężczyzny. Znudzony, a nawet przerażony jej miłością i planami wspólnej ucieczki, hrabia listownie zrywa tę znajomość, doprowadzając Emmę do długotrwałej choroby. Chorą opiekuje się mąż. Po wyzdrowieniu pani Bovary powraca na krótki okres do swojej roli matki i żony. Podczas wyjazdu do Rouen na przedstawienie w jednej z lóż spotyka swojego dawnego adoratora Leona, co doprowadza do kolejnego romansu.

Kobieta oszukuje swojego męża, co dzień wymyśla nowe kłamstwa. Żyje w świecie ułudy, nie chcąc dopuścić do siebie realiów. Zaniedbuje dom i rodzinę. Teś...

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